Faudrépasnouprendrepourdéc...

 

L’équilibre climatique de l’hémisphère nord peut basculer d’ici sept ans. C’est ce qu’a affirmé Louis Fortier, océanographe et biologiste de l’université Laval (Québec) dans Le Devoir de Montréal le 24 avril dernier. Si nous ne voulons pas sérieusement dérouiller, c’est tout de suite qu’il faut agir ra-di-ca-le-ment. Élu « Personnalité scientifique de 2005 » par La Presse et Radio-Canada, Louis Fortier est le directeur d’Articnet, le plus important programme de recherche en réseau sur les changements climatiques à travers le Canada. Il n’a donc rien du dangereux activiste mauvais prophète qui tente d’effrayer le commun des mortels avec des fables apocalyptiques. À notre connaissance, il n’est pas affilié non plus aux éco-warriors hirsutes et il n’est payé par aucune force occulte pour démoraliser les marchés financiers ou pour culpabiliser les possesseurs de 4x4. Tout ça n’empêche pas Louis Fortier, en homme responsable, de tirer la sonnette d’alarme.

Dans un entretien avec Louis-Gilles Francoeur, journaliste au Devoir, Louis Fortier annonce que l’accélération des changements climatiques va au-delà de toutes les prévisions. « Les scientifiques du Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (GIEC) ont été trop timides, dit-il. Le GIEC est commandité par les gouvernements. » Traduction : les conclusions du GIEC sont rédigées par des scientifiques et par des politiques. Elles doivent rechercher le consensus. « Cet imprimatur politique fait en sorte qu’on arrache toutes les dents des rapports. On en est rendu au point où on voit des sceptiques se réfugier derrière les conclusions du GIEC de 2004 pour dire que ce ne sera pas si pire, après tout. Présentement, on sent un remords monter parmi les chercheurs parce qu’on n’a pas été assez ferme, qu’on n’a pas assez défendu nos conclusions. On a plié devant le barrage des négationnistes pour mitiger nos conclusions. C’est grave, parce que les politiques vont certainement nous reprocher de ne pas les avoir avertis à temps. On a aussi été influencé par l’opinion publique qui ne veut pas entendre parler de catastrophes, alors que des solutions existent. »

Les scientifiques ne doivent pas être à la botte des politiciens. Qu’ils disent au grand jour ce qu’ils savent. Que les savants cessent d’être complaisants, pour ne pas dire complices, avec les puissants. On attend d’eux courage et audace. Au cœur de l’assourdissant concert de langues de bois et de mensonges, la parole de Louis Fortier doit donc être entendue et amplifiée quand il livre le fruit de ses travaux. Même si on préférerait largement se laisser bercer par des roucoulades optimistes...

L’équilibre climatique actuel dépend du bilan radiatif de l’hémisphère nord, de sa capacité à réfléchir plutôt qu’à absorber les rayons solaires grâce au pouvoir réfléchissant de la calotte polaire. « Ce qui se passe actuellement accélère la mutation du climat au-delà de toutes les prévisions, dit Louis Fortier. Parce que plus la calotte polaire fond rapidement en été, plus l’océan Arctique absorbe la chaleur solaire. Ce qui accélère la fonte de la glace l’année suivante parce qu’elle est moins épaisse d’une année à l’autre. »

Le scientifique poursuit. « On prévoyait, il n’y a pas vingt ans, que la calotte polaire disparaîtrait vers 2070-2080 si les concentrations de gaz carbonique continuaient d’augmenter. Puis, des modèles plus perfectionnés ont prédit que l’océan Arctique serait libre de glace solide en été vers 2030. Et au rythme où on mesure maintenant la diminution du couvert de glaces, cela va se produire vraisemblablement dans sept ans environ, vers 2015, à moins d’épisodes météorologiques imprévus. La calotte polaire de l’océan Arctique a perdu l’été dernier 1,2 million de kilomètres carrés supplémentaires par rapport à 2006. Il y a une trentaine d’années, cette calotte affichait une surface de huit millions de kilomètres carrés, mais elle n’en compte plus aujourd’hui que quatre millions. Et, le plus inquiétant, c’est que la proportion de la glace pluriannuelle, celle qui est forte et qui durait de deux à onze ans, diminue sans cesse parce que son épaisseur diminue. Ce qui la rend plus friable et la fait passer dans la partie vouée à la fonte annuelle. De la glace de dix ans, il en reste très peu au pôle Nord. »

La calotte polaire disparue, le climat de l’hémisphère nord va basculer très rapidement et pour longtemps. Privées d’apports en froid, les températures tempérées que nous connaissons vont vite appartenir au passé. « Il faut donc devancer de trente ans les prédictions du GIEC. Ce que corrobore aussi la fonte beaucoup plus rapide que prévu des glaces du Groenland. Cela est d’autant plus compréhensible et inévitable que les modèles prévisionnels utilisés par le GIEC ne tiennent pas compte de la réduction de l’albédo (le pouvoir réfléchissant) de la calotte polaire. Tout comme ces modèles ne tiennent pas compte de la diminution de l’épaisseur des glaces. Un chercheur de l’École navale supérieure d’océanographie des États-Unis a voulu intégrer ces variables et ces conclusions dans un modèle. Les conclusions se sont avérées tellement inquiétantes que ce chercheur a décidé de ne pas les publier pour ne pas faire peur au monde », poursuit Louis Fortier dans Le Devoir.

Un autre spécialiste va dans le même sens que Louis Fortier. Il s’agit de James Hansen, le patron du Goddard Institute de la NASA. Une grosse pointure également peut suspecte d’extrémisme écolo. Il affirme que l’humanité a franchi le seuil critique en matière de changements climatiques en 1990, lorsque la concentration de gaz carbonique dans l’atmosphère terrestre a dépassé le cap des 350 parties par million (ppm). Nous en sommes aujourd’hui à 385 ppm et cette concentration augmente au rythme de 2 à 3 ppm par année... L’Europe s’est fixée le taux de 450 ppm dans la deuxième phase du protocole de Kyoto. Pour Hansen, ce seuil qui annonce la catastrophe climatique générale et l’irréversibilité des changements est beaucoup trop haut.

La paléontologie nous donne aussi des indications fondamentales sur notre situation. « Si la température moyenne augmentait de 2 à 6°C sur la planète, le climat entrerait dans une phase qui pourrait durer entre 10 000 et 15 000 ans, avant de revenir à ce qu’on connaît aujourd’hui. C’est ce que nous apprennent les traces laissées par le début de l’éocène, il y a cinquante-quatre millions d’années, le seul moment documenté où on a vu basculer le climat aussi rapidement. Et il a fallu alors quelque 20 000 ans pour que se modifie cette tendance », argumente Louis Fortier.

A très brève échéance, on peut s’attendre à d’énormes chambardements écologiques et géopolitiques. Disparition des espèces polaires, redistribution des enjeux économiques et militaires autour d’un nouvel espace maritime bordé par les Etats-Unis, l’Europe et la Russie, migrations tumultueuses des réfugiés climatiques, nouvelles menaces sur la paix mondiale... Louis Fortier n’est pas certain que nous soyons collectivement prêts à faire face à des changements aussi importants et aussi soudains. Nous non plus ! Le chercheur espère que le monde se réveillera vite. Pourquoi se réveillerait-il ? Hypnotisées par un certain confort, les belles déclarations des politiciens aux longues dents blanches, l’illusion de vivre une vie méga fun et sexy..., les masses sont plus préoccupées par le dernier jeu télévisé, par les performances de leur téléphone portable ou par la couleur de leur prochaine grosse voiture que par la survie de la planète.

Quant aux gens les plus revendicatifs, ils feraient bien d’inclure d’urgence des priorités environnementales aux slogans sur la défense du pouvoir d’achat, de la sécurité sociale ou des retraites. Au train où nous allons, dans quel état sera la Terre au bout de quarante ans de cotisations ? Ah la belle retraite qu’on nous prépare ! Nous vivons une époque ubuesque où tous les leaders de droite, de gauche ou même parfois d’extrême gauche font comme si nous avions une éternité sereine et réjouissante devant nous. Quand des centaines de millions de personnes se retrouveront sous le niveau de la mer, on ne rigolera plus du tout.

Ce que les premiers écolos annonçaient dans les années soixante-dix est sous notre nez. Le scénario se déroule hélas comme prévu. Mais c’est tout juste si on lève le pied. Au lieu d’agir promptement, on tente encore de nous leurrer avec des mesures aussi efficaces qu’un pansement sur une jambe de bois. Avec le développement durable, le capitalisme a trouvé de quoi calmer un moment les naïfs. Le développement durable était une excellente idée il y a trente ou quarante ans. Mais maintenant, il est trop tard. Et chaque année qui passe, nous rapproche un peu plus d’une situation inextricable. Si les citoyens du monde ne se réveillent pas tout de suite, nous pourrions vivre dans un cauchemar qui fera des films Mad Max et Soleil vert de charmants contes de fées.

Il n’y a pas de capitalisme à visage humain. Le capitalisme, machine morbide et suicidaire, préfèrera crever en nous entraînant tous plutôt que d’arrêter ses conneries. Il faut casser le cou des politiciens qui osent encore parler de croissance quand seule la décroissance peut sauver l’humanité. Comment continuer à croître dans un monde fini aux ressources épuisées, dans un monde inégalitaire dirigé par des voyous incapables de voir plus loin que leurs gros et petits profits ? Stop. On arrête. On réfléchit. Et on prend les choses en main.

Les utopistes sont aujourd’hui celles et ceux qui pensent qu’il est possible de continuer comme si tout allait bien. Repeindre en vert pâle les vieilles façades délabrées ne suffira pas. En fait, un changement radical de société est à envisager. Nous ne sommes même plus dans le débat idéologique. C’est une évidence, une question de survie. Il faudrait réinventer nos modes de vie, nos loisirs, nos transports, notre habitat, notre consommation, notre façon de penser le travail, la retraite... de manière équitable, fraternelle, solidaire, libertaire.

Nous vivons une époque formidable. Mais, comme je n’ai qu’une confiance relative dans mes contemporains et que l’avenir sent pas mal le soufre, juste un conseil. Si vous aimez les enfants, n’en faîtes pas. Si vous en avez déjà, bougez vous le cul. Sinon, un jour, ils pourraient vous attaquer en justice pour les avoir fait naître sur une planète pourrie.

> > > > Coup de gueule d'un responsable EDF concernant le 20h de mercredi soir 12 mars 08.
> > > >

> > > > Vous l'avez peut être vu, hier soir au 20h sur TF1, un illuminé nous a donné une leçon sur les économies d'énergie. En cette période de grand froid, c'était plutôt bien placé, et ça changeait un peu du réchauffé sur le raz-de-marée de 2004, les attentats en Irak, le procès de la pédophilie, les accidents de la route et autres images noires qu'on nous passe à la pelle tous les soirs....
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> > > > Mais notre illuminé, il nous a pris pour des idiots : Il nous a expliquéqu'en coupant toutes les veilleuses de nos appareils électriques, on pouvait économiser 15% de notre consommation. Il a raison, faut couper les veilleuses.... mais il nous prend pour des cons !
> > > > Car ce ne sont que 2 à 3% d'économie qui sont envisageables ... sauf si on possède 10 télévisions, 15 chaînes hi-fi et 20 magnétoscopes !
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> > > > Ensuite notre illuminé nous a expliqué qu'en mettant des lampes à économie d'énergie, on pouvait économiser 30 à 35% d'énergie. Il a raison, faut mettre des lampes à économie d'énergie, mais encore une fois faut pas nous prendre pour des cons ! Car c'est 4 à 5 % que l'on peut économiser, sauf si la maison est équipée comme celle de l'arrière-grand-père, c'est à dire juste des lampes et pas de frigo,micro onde, lave linge, lave vaisselle, sèche-linge et j'en passe, car si il y a tout ces appareils là, l'éclairage ne pèse pas lourd dans la consommation.
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> > > > Pour couronner le tout, une brillante journaliste de TF1 a pris le relais et a fait le total des économies qu'on peut faire, pour une fois elle comptait autre chose que des morts, des enfants violés ou des voitures brûlées :
> > > > 15 % sur les veilleuses + 35% sur les lampes ça fait 50% d'économie d'énergie !...
> > > > Elle ne l'a pas dit, mais on a deviné que demain,on va pouvoir arrêter la moitié des centrales électriques !... C'est trop con, mais pourquoi est ce qu'on nous a pas expliqué tout ça avant !
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> > > > Pour continuer dans la connerie, la TF1 girl's nous a ensuite dit que pour les 50% restants, on pouvait les alimenter avec des panneaux solaires qui produisent de l'électricité 'verte', en nous montrant une photo d'une belle maison avec un petit panneau solaire derrière. Là, j'ai failli tomber de ma chaise, car on n'avait encore jamais vu un niveau de désinformation pareil, une absurdité aussi monumentale, car en effet, pour produire ces 50 % restants, si on se base sur une consommation moyenne de 6 Kw (un abonnement sans chauffage électrique), il faudrait que chaque maison possède 140 mètres de panneaux solaires pour un coût de 89 628 Euros (c'est bon pour le porte-monnaie de celui qui les vend !)
> > > >  
> > > > Dans le chapitre 'c'est bon pour la planète', il convient d'ajouter que les panneaux solaires, on ne sait pas quoi en faire quand ils arrivent en fin de vie, car ils contiennent plein de silicium et autres métaux lourds très polluants .....
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> > > > Le TF1 reportage d'hier soir s'arrête là. Pour de l'info qu'on diffuse à 20h à tous les Français, c'est grave. La production d'électricité, je connais très bien j'ai donc repéré tout suite l'arnaque à l'info. Mais pour le reste, ce que je ne connais pas bien, je suis persuadé qu'on nous raconte les mêmes conneries, alors maintenant je ne crois plus à grand chose. C'est vraiment dommage pour les gamins car eux ils ont tout à apprendre et ils gobent facilement
.
> > > >

> > > >
> > > > Ne croyez surtout pas que je suis contre les économies d'énergies, je suis à 100% pour, quand elles sont réalistes, mais ça me fout en rogne d'entendre des conneries pareilles !
> > > >  Pour continuer dans l'intox, connaissez vous Biville sur mer en Seine Maritime ?
> > > >  C'est un petit village du littoral près de Dieppe, où 6 éoliennes sont récemment sorties de terre. Six engins de dernière génération qui occupent 4 kms de notre littoral normand et dont les pales culminent à 85 m de hauteur. Chaque éolienne à une puissance maxi de 2 mégawatts.... quand le vent souffle fort. Ce n'est pas grand chose comparé au 2600 mégawatt qui sortent en permanence de la centrale nucléaire voisine, mais c'est toujours ça, surtout quand il fait très froid comme en ce moment,d'autant plus que cette année les barrages sont vides suite à la sécheresse de cet été. Dommage quand même que cette énergie renouvelable soit si chère et non maîtrisable (4 fois plus chère que celle de l'atome), mais c'est pas grave, EDF à obligation de le racheter (et cher).
> > > > Ça reste marginal, ça ne ce voit pas trop sur la facture des client
s.
> > > >
> > > > Mais revenons à nos 6 éoliennes ; depuis quelques jours il n'y a qu'une seule éolienne qui tourne, les 5 autres seraient elles privées de vent ?
> > > > Que nenni, du vent il n'y en a pas depuis plusieurs jours, ce qui est généralement le cas quand il fait très froid, ou très chaud. C'est la nature, l'homme ne lui dicte pas encore sa loi.
> > > >
> > > > Mais alors, s'il n'y a pas de vent comment expliquer qu'une et une seule des éoliennes tourne ?
> > > > La réponse est très simple : On veut nous faire croire à fond aux énergies renouvelables, alors on n'hésite pas à tricher pour en cacher le mauvais coté. Ben oui, ça ferait pas bien pour les habitants de la région qui n'ont pas encore accepté ça dans leur paysage, de voir toutes les éoliennes à l'arrêt alors qu' il fait - 4 degrés dehors.
> > > > Alors, tout simplement, on en fait tourner une ...en moteur (oui c'est possible, en lui donnant du courant!). Ça consomme un peu d'électricité, mais ça fait croire que ça produit de l'énerg
ie.
> > > >
> > > > Il est temps d'arrêter de nous rabâcher tous les soir
�� la météo 'c'est bon pour la planète', parce que là, on sait plus trop ou est le bien et le mal, et on va finir par penser que ceux qui donnent des conseils sont les plus 'dégueulasses'..
> > > >
> > > > Ne croyez surtout pas que je suis contre les énergies renouvelables. Au contraire, si elles pouvaient remplacer nos centrales nucléaires, au charbon ou au fioul, j'en serais ravi.  Mais malheureusement, de l'électricité 'dite propre' sans fumées, sans CO2, sans atomes, disponible quand on en a besoin, à un prix qui ne détruise pas nos emplois et ne saborde pas notre confort, ça n'existe pas.
> > > >
> > > > Dans 20, 30 ou 50 ans peut être....
> > > >
> > > > Dans mon entourage, je ne connais personne qui lave du linge propre, ou qui met en route son lave vaisselle vide... Alors il est grand temps que les médias et certains idéaux politiques arrêtent de nous prendre pour des demeurés avec des reportages orientés, tronqués et des leçons de civisme qui ne tiennent pas la route.
> > > >
> > > > Ah oui, j'allais l'oublier : j'ai même entendu il y a environ 3 semaines, Evelyne Délias nous dire, après sa page météo, qu'il ne faut pas mettre trop de chauffage dans la voiture car ça consomme du carburant et 'c'est pas bon pour la planète'. Evelyne, si tu avais pris des cours de mécanique, tu saurais que le chauffage de la voiture récupère la chaleur de l'eau du circuit de refroidissement du moteur et cette eau chaude il faut absolument la refroidir en la faisant passer soit dans le radiateur principal (celui qui se trouve derrière la calandre), soit dans le radiateur du chauffage de l'habitacle, sinon c'est la mort du moteur !  Si cette eau n'est pas assez refroidie, c'est même le ventilateur du circuit de refroidissement qui doit s'en charger en consommant de l'électricité pour tourner! Et ça ...'c'est pas bon pour la planète' par contre!
> > > >
> > > > On pourrait aussi évoquer les biocarburants, présentés comme carburants verts alors que s'engager dans cette voie, c'est un désastre écologique et humain à brève échéance : flairant l'aubaine, de grands groupes agro-alimentaires défrichent en ce moment des forêts entières et remplacent des cultures destinées à l'alimentation humaine par ces plantations destinées à la production de carburant 'vert'.  Vous vous doutiez de cet effet pervers du biocarburant?
> > > >
> > > > Mais c'est un autre débat et j'ai des palpitations déjà rien que d'y penser...
> > > >
> > > > Surtout, surtout, je vous en prie
... INFORMEZ-VOUS !
> > > >
> > > > Et diffusez ceci si cela vous interpelle.
> > > > --
> > > >
Olivier Haccard

2019مبادرة 23 نوفمبر
 
من بعد
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Jeux de retraites
 
Les gens qui travaillent demandent souvent à ceux qui sont à la retraite ce qu'ils font de la journée.
Et bien par exemple, l'autre jour avec ma femme nous sommes allés en ville et nous sommes entrés dans un magasin.
Nous n'y sommes restés que 5 minutes. Quand nous sommes sortis, un flic était en train de remplir une amende de stationnement.
Nous nous sommes approchés et lui avons demandé,
« Allez! Vous feriez bien un petit geste envers des retraités »
Il nous a ignoré et a continué de remplir son PV.
Je l'ai traité de gros porc.
Il m'a regardé et a commencé un autre PV pour des pneus lisses.
Alors ma femme l'a traité de roi des trous du cul.
Il a fini le deuxième PV, l'a mis sous l'essuie glace et en a commencé un troisième.
Ce petit manège a continué pendant 20 minutes, plus on l'insultait, plus il remplissait de contraventions!
Personnellement on s'en fichait, on était venu en autobus !!!
Depuis notre retraite nous essayons chaque jour de nous amuser un peu.
C'est important à notre âge.
Vive la retraite!
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